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Lien entre alimentation et développement personnel

 

J’ai dès mes débuts choisi la double compétence, sans en connaitre vraiment les tenants et les aboutissants. Je me suis formée ardemment en nutrition, avec comme cheval de Troie la santé et en tant que coach en développement personnel.

J’ai commencé par dissocier les deux approches, pensant que l’une était faite pour préserver la santé (la nutrition avec l’axe que j’avais choisi) et l’autre pour s’épanouir dans la vie et faire des choix plus en accord avec soi (le développement personnel).

J’aurais même pu à l’époque vous expliquer que la nutrition c’était plus pour le corps et le développement personnel pour la tête. Complémentaires, mais dissociés.

C’est avec le temps et l’expérience que j’ai fait des liens entre ces deux disciplines et compris qu’on ne pouvait pas les dissocier.

Cela reviendrait à dissocier la structure d’un vélo de ses roues.
Car l’alimentation c’est ce qui nous permet d’être plein d’énergie, d’être au top de nos capacités et le développement personnel de passer à l’action, d’être créatif, d’entreprendre, de remettre ou trouver du sens.

A quoi bon être au top de ses capacités si votre vie n’a pas de sens, si vous ne passez pas à l’action ?
Avez vous envie d’entreprendre si vous êtes tout le temps fatigué.e, angoissé.e, etc… ?
Avez-vous envie de vous alimenter sainement si vous êtes préoccupés par votre équilibre vie perso / vie pro ?
Il y aurait encore tant d’exemples du lien physique via la nutrition et notre mental, entre le corps et d’esprit.

C’est un système où tout est interconnecté.

On pourrait également voir le lien comme cela:

Ce que vous pensez, la vision que vous avez du monde, le sens que vous mettez sur les choses (via votre tête) va avoir un impact sur vos émotions, votre humeur, puis sur votre façon de vous comporter (de vous nourrir, de choisir vos aliments, d’interagir avec autrui, etc…)

Pensées + émotions = Développement personnel – Image de soi, estime & confiance en soi…
Comportements, choix, actes = Rapport à soi, à l’alimentation, au corps, aux autres

 

N’avez-vous jamais eu mal au ventre avant une situation très stressante (examen, prise de parole, etc…) ? Pensée: J’ai peur de me planter – Émotions : stress, peur – Comportements: maux de ventre, indigestion, irritabilité, etc…

N’avez-vous jamais été énervé.e en voiture: Pensées: C’est chiant les bouchons je vais arriver en retard, – Émotions colère, stress – Comportements: humeur négative avec les collègues, repas rapide, etc…

Autres exemples:
Vous vous regardez dans le miroir et vous vous auto-jugez: Pensées: Je ne suis pas assez comme ci, comme ça – Émotions : tristesse, colère – Comportement: Régime strict, contrôle alimentaire, sport à outrance, etc…
Vous recevez une bonne nouvelle (nouveau job / examen réussi): Pensées: C’est trop génial, j’ai hâte de commencer ma nouvelle vie – Émotions : Joie, Envie – Comportements: Dans l’action, planification, souhaite fêter ça, etc…

Pour une seule et même situation nous pouvons avoir une pensée différente et donc un comportement différent.

Et comme tout est lié, on peut vite remarquer que nos pensées influencent nos émotions, qui elles influencent nos comportements.

Je vous laisse observer cela.

 

Au départ pour moi, comprendre cette interconnexion était un véritable puzzle en désordre.
Ce désordre à durée le temps (qui peut être plus ou moins long) de trouver la pièce centrale, le fil conducteur: moi

Je ne m’étais pas perdue en cours de route, mais j’avais oublié (ou même jamais réalisé) que j’étais l’unique responsable de ma vie.
Bien sur que parfois j’avais quelques obstacles, mais j’avais toujours la possibilité de dire oui ou non, de mettre de la conscience, de la compréhension sur ce qui m’arrivait et de choisir un itinéraire bis.

J’avais beau mettre la faute sur l’extérieur (la mal bouffe qui me donnait envie, les publicités qui m’incitaient, les événements de la vie qui me perturbaient, les autres qui n’étaient pas comme ci ou ça, mon travail qui n’était assez bien, etc…), le mieux être devait venir de l’intérieur. Et de nul part ailleurs.

Cela voulait donc dire agir au niveau de ce que je faisais entrer à l’intérieur de moi (mes aliments, mes informations, mes/les paroles, etc…), ce que je nourrissais de l’intérieur (mes pensées, mes émotions, mes relations, etc…) et ce que je faisais pour l’extérieur (actions, comportements, humeur, etc…).

Je venais de comprendre que je pouvais être responsable de moi.

Certains préféreront ne pas être responsable d’eux même, très bien, c’est aussi un bout du chemin, qu’il est nécessaire d’arpenter.

Devenir responsable de soi ça veut dire faire des choix où l’on se respectent pleinement, en toute honnêteté.
Ça veut aussi dire savoir si l’on veut le mieux pour soi,
C’est se faire réellement du bien (en terme de nourriture, de relation, de pensées, de projet, etc…)
C’est accepter chacune de ses facettes,
C’est s’autoriser à …
C’est être bienveillant envers soi,
C’est avancer petit à petit.
En fait c’est s’aimer sur tous les plans

Ma façon de m’alimenter il y a quelques années démontrait un manque d’amour envers moi (c’était inconscient bien sur). Tout comme pouvait l’indiquer ma façon de parler de moi ou des autres, etc… Ou encore ma vision du monde, ma vision du travail, de ma capacité à faire, à être…

On ne fait pas de mauvais choix, on fait les choix qui nous semble le mieux sur l’instant et qui viennent nourrir ou combler un besoin.

Prendre conscience de son fonctionnement (via ce fameux cercle comme indiqué plus haut), c’est devenir responsable de soi petit à petit pour ne plus être en mode pilote automatique.

Tout est un miroir pour soi-même.

L’alimentation
Les relations
Les maladies

 

Je vous souhaite une belle réflexion 😉

Prenez soin de vous,

Joy

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